Le goût peut bien différencier d’un individu à un autre. Ce que vous n’aimez pas peut-être le préféré des autres. C’est la loi du relativisme. Elle s’applique aussi aux vins. Sur la qualité d’un vin, il est très rare qu’il y ait de l’unanimité. Vous faites partie de ceux qui ont du mal à distinguer un bon vin d’un mauvais vin ? Des astuces simples peuvent vous aider à apprécier un vin. Elles peuvent être visuelles ou olfactives.
L’évaluation d’un vin : la place du visuel
Lorsque vous aimerez savoir si un vin est de bonne qualité ou pas, tous les sens entrent en jeu. Vous allez découvrir ici le rôle des yeux dans cette entreprise. En effet, avec les yeux, vous aurez à analyser le vin dans sa couleur et dans son ancienneté. La couleur des vins n’est pas la même selon qu’ils sont jeunes ou vieux. Lorsque vous prenez un vin rouge par exemple, plus la couleur tire vers un rouge orangé, plus il est daté. Mais, lorsqu’il est clair et ressemble à une violine, vous pouvez aisément conclure qu’il s’agit d’un vin nouvellement produit. A contrario, le vin blanc, s’il est daté, prend une couleur jaune or. Puisque, plus le vin vieillit, plus il est bon, il vous revient de juger selon la couleur.
Sentir le vin : le premier et le deuxième nez
Le premier nez est une astuce utilisée pour déguster le vin. Il consiste à inspirer le vin et à tirer une conclusion. En effet, vous pouvez reconnaitre la qualité d’un vin par l’odeur qu’il dégage. Pour le faire, servez-vous un verre du vin à déguster. Rapprochez-le de votre nez et inspirez profondément. Deux remarques différentes sont possibles. D’un côté, le vin est ouvert. Dans ce cas, vous pouvez aisément sentir les arômes constituants tels que les floraux, les minéraux ou les végétaux. D’un autre côté, le vin est fermé. Ici, vous ne sentez rien du tout. Dès lors, faîtes appel au deuxième nez. Cela consiste à remuer le verre et à essayer de sentir à nouveau l’odeur. Si de nouveau, vous avez du mal à identifier l’arôme, vous pouvez conclure qu’il n’est pas de qualité.